Ce que cache l’éducation sexuelle à l’école : l’ombre de Kinsey derrière les normes de l’OMS
Quand l'OMS s'appuie sur un passé trouble
Ce que vous devez savoir sur Kinsey et l'éducation sexuelle de vos enfants
Introduction personnelle :
Il y a des sujets qu’on aborde avec des pincettes. Et puis il y en a qu’il faut prendre à bras-le-corps, parce que le silence fait plus de dégâts que les mots. Cet article n’est pas là pour choquer, mais pour éveiller. En tant que parent, créatrice de contenus pour enfants, et simple citoyenne attentive, j’ai voulu comprendre pourquoi certaines orientations en matière d’éducation sexuelle me semblaient si déroutantes, voire dangereuses. En creusant, je suis tombée sur un nom qui revient comme un fantôme dans les couloirs des institutions internationales : Alfred Kinsey.
Présenté comme un pionnier, il fut pourtant à la base professeur de biologie, spécialiste des guêpes (entomologiste, pour faire sérieux), sans aucune formation en médecine, sexologie, psychologie ou pédopsychiatrie. Et pourtant, ses travaux sont devenus des références. Pire encore : ils influencent toujours, directement ou non, les standards d’éducation sexuelle proposés à nos enfants. Alors j’ai décidé d’écrire.
1. Qui était vraiment Alfred Kinsey ?
Souvent encensé comme un scientifique rigoureux, Kinsey fonde dans les années 40 le Kinsey Institute, et publie deux rapports devenus célèbres : Sexual Behavior in the Human Male (1948) et Sexual Behavior in the Human Female (1953). Ces études, en apparence scientifiques, ont bouleversé la société américaine en parlant de sexualité sans détour, statistiques à l’appui, dans un style pseudo-objectif.
Mais à y regarder de plus près, la rigueur a des allures de poudre aux yeux. Car derrière les chiffres se cachent des zones d’ombre. Des données sur la sexualité infantile. Des descriptions froides, presque mécaniques, de réactions d’enfants soumis à des actes inacceptables. Et cette question qui brûle les lèvres : comment a-t-il obtenu ces données ?
2. Une méthodologie éthiquement inqualifiable
Kinsey s’est appuyé, entre autres, sur les témoignages et les carnets de délinquants sexuels. Certains avaient documenté, avec une précision glaçante, des actes commis sur des enfants, parfois très jeunes. Non seulement il a utilisé ces informations, mais il les a intégrées à ses recherches comme s’il s’agissait de matériaux neutres, valides, scientifiquement exploitables.
Aucune alerte. Aucun avertissement. Pas de condamnation des faits rapportés. Au contraire, il a présenté ces tableaux comme des preuves objectives du "comportement sexuel infantile". Le mot-clé ici, c’est "comportement". Comme si les enfants étaient les acteurs volontaires de ce qu’ils avaient subi.
C’est une trahison absolue de l’enfance. Et c’est cette trame, invisible mais tenace, qui continue d’imprégner certaines doctrines éducatives aujourd’hui.
3. Un héritage qui n’a jamais été enterré
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), dans ses "Standards pour l’éducation sexuelle en Europe", promeut une approche dite "positive", "déculpabilisée", et "globale" de la sexualité dès le plus jeune âge. Derrière ces mots apparemment bienveillants, on retrouve des formulations et des axes pédagogiques qui font étrangement écho aux idées de Kinsey.
Par exemple, on y lit que les enfants de 0 à 4 ans devraient apprendre qu’ils peuvent "exprimer leurs besoins sexuels" ou "jouer au docteur". L’objectif affiché est d’éduquer à la diversité et au respect. Mais en réalité, on flirte avec une frontière dangereuse : celle où l’enfant est vu comme un être sexué à part entière, capable de consentement, de désir, de choix.
Et c’est précisément ce glissement que Kinsey a initié : déplacer le regard, banaliser, rendre flou ce qui devrait être évident — à savoir que l’enfant n’est pas un adulte miniature.
4. Banalisation, confusion et porte ouverte aux dérives
L’erreur majeure de cette idéologie est de projeter sur l’enfant des notions qu’il ne peut ni comprendre ni assumer. Parler de consentement à un âge où l’on ne peut même pas lire l’heure, ce n’est pas de l’éducation : c’est une abdication de la protection parentale et sociétale.
Quand on dit à un enfant qu’il peut dire non, on laisse entendre qu’il pourrait aussi dire oui. Et ce "oui", s’il est arraché par la ruse, la peur ou l’ignorance, que vaut-il vraiment ? Dans la bouche d’un enfant, ce n’est pas un consentement. C’est un appel à l’aide que personne n’a su entendre.
Il est temps de rappeler que l’éducation sexuelle ne peut être un terrain d’expérimentation idéologique. Elle doit être un rempart, pas une initiation. Un outil de protection, pas un jeu de rôle pour adultes en quête de révolution sociale.
3. Un héritage qui n’a jamais été enterré
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), dans ses "Standards pour l’éducation sexuelle en Europe", promeut une approche dite "positive", "déculpabilisée", et "globale" de la sexualité dès le plus jeune âge. Derrière ces mots apparemment bienveillants, on retrouve des formulations et des axes pédagogiques qui font étrangement écho aux idées de Kinsey.
Par exemple, on y lit que les enfants de 0 à 4 ans devraient apprendre qu’ils peuvent "exprimer leurs besoins sexuels" ou "jouer au docteur". L’objectif affiché est d’éduquer à la diversité et au respect. Mais en réalité, on flirte avec une frontière dangereuse : celle où l’enfant est vu comme un être sexué à part entière, capable de consentement, de désir, de choix.
Et c’est précisément ce glissement que Kinsey a initié : déplacer le regard, banaliser, rendre flou ce qui devrait être évident — à savoir que l’enfant n’est pas un adulte miniature.
4. Banalisation, confusion et porte ouverte aux dérives
L’erreur majeure de cette idéologie est de projeter sur l’enfant des notions qu’il ne peut ni comprendre ni assumer. Parler de consentement à un âge où l’on ne peut même pas lire l’heure, ce n’est pas de l’éducation : c’est une abdication de la protection parentale et sociétale.
Quand on dit à un enfant qu’il peut dire non, on laisse entendre qu’il pourrait aussi dire oui. Et ce "oui", s’il est arraché par la ruse, la peur ou l’ignorance, que vaut-il vraiment ? Dans la bouche d’un enfant, ce n’est pas un consentement. C’est un appel à l’aide que personne n’a su entendre.
Il est temps de rappeler que l’éducation sexuelle ne peut être un terrain d’expérimentation idéologique. Elle doit être un rempart, pas une initiation. Un outil de protection, pas un jeu de rôle pour adultes en quête de révolution sociale.
Conclusion : Ouvrir les yeux et remettre les choses à l’endroit
Non, l’éducation sexuelle moderne n’est pas neutre. Elle est le fruit d’un héritage empoisonné. Kinsey n’était pas un bienfaiteur : il était un homme obsédé par la quantification du désir, au mépris de toute éthique. Ses "travaux" continuent d’influencer des décisions politiques et éducatives, sans que les citoyens en soient vraiment informés.
Alors, que faire ? D’abord, regarder les choses en face. Sortir de l’idolâtrie du mot "scientifique". Interroger les sources. Exiger de la transparence. Ensuite, redonner à l’éducation sexuelle son sens profond : aider l’enfant à se connaître, à se protéger, à respecter les autres et à être respecté.
Il ne s’agit pas d’un retour à la pudibonderie, mais d’un sursaut de lucidité. Car chaque mot transmis à l’école est une graine dans l’esprit d’un enfant. Et certaines graines, mal choisies, peuvent devenir des ronces.
Kinsey n’a jamais mesuré cela. Mais nous, nous pouvons encore choisir quel jardin nous voulons pour nos enfants.
🌱 Parler de ces sujets n’est jamais facile. Mais c’est souvent dans les silences que se glissent les dangers. Si cet article a éveillé quelque chose en vous, laissez un mot, une pensée, ou faites-le voyager. Un simple partage peut semer une prise de conscience.
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