
Ce que cache l’éducation sexuelle à l’école : l’ombre de Kinsey derrière les normes de l’OMS
Il y a des sujets qu’on aborde avec des pincettes. Et puis il y en a qu’il faut prendre à bras-le-corps, parce que le silence fait plus de dégâts que les mots. Cet article n’est pas là pour choquer, mais pour éveiller. En tant que parent, créatrice de contenus pour enfants, et simple citoyenne attentive, j’ai voulu comprendre pourquoi certaines orientations en matière d’éducation sexuelle me semblaient si déroutantes, voire dangereuses. En creusant, je suis tombée sur un nom qui revient comme un fantôme dans les couloirs des institutions internationales : Alfred Kinsey.

Créer un personnage magique pour votre enfant : l’idée du Petit Lion
Il y a des jours où rien ne va. Il pleut, les jeux habituels ne font plus rêver, les enfants s’ennuient… et tout ce qu’on propose semble tomber à plat. Vous voyez, ce genre de journée où l’on se dit : « Bon, il va falloir un petit miracle. » Eh bien ce jour-là, j’ai sorti un lion de ma manche.

Parler aux enfants, oui. Leur imposer, non.
Il y a des choses qu’on ne pensait pas devoir écrire un jour.
Et pourtant, nous y sommes.
En 2025, dans certaines écoles, on parle à des enfants de maternelle de sujets qu’ils ne peuvent ni comprendre, ni intégrer.
On leur parle de corps, de sexualité, parfois même de masturbation — sous couvert de “droits”, d’éducation, de prévention.

Et si les contes d’hier abîmaient les enfants d’aujourd’hui ?
On les appelle “contes traditionnels”.
On les raconte encore dans les écoles, dans les albums illustrés, dans les dessins animés.
On les lit aux enfants sans trop les questionner… parce qu’on les a nous-mêmes entendus.
Et qu’on a survécu. Enfin, il paraît.
Mais aujourd’hui, avec mon regard de maman, de femme, et d’autrice…
je ne peux plus faire semblant de trouver ça normal.

Pourquoi j’ai choisi d’inventer des histoires douces pour les enfants ?
L’écriture a toujours été l’une de mes plus grandes passions.
Depuis toute petite, j’ai toujours eu besoin d’écrire pour me vider l’esprit, comme une forme de méditation.
Au fil des années, j’ai créé plusieurs blogs, sur des sujets variés, juste pour le plaisir de jouer avec les mots.
À ce moment-là, écrire pour des enfants ? Ça ne m’avait même jamais effleuré l’esprit.
Et puis… j’ai eu des enfants.